À propos

Breach de Other Animals / Alexandre Morin
avec Alexandre Morin, Noémie Dufour-Campeau, Ivanie Aubin-Malo, Simon Renaud, Jonathan Goulet
Photo : Frédéric Chais

Nos valeurs

En quelques mots

Enrichissement

L’intervention de La DSR s’inscrit dans une perspective d’enrichissement des connaissances et des pratiques pour accroître et améliorer la diffusion de la danse.

Engagement

La DSR et ses membres s’engagent envers le développement de la danse en améliorant les conditions de la diffusion de la danse.

Ouverture

La DSR cherche à être inclusive, elle est ouverte aux différentes formes et pratiques de la danse professionnelle.

Émulation

En favorisant le contact entre les organismes qu’elle regroupe, La DSR permet une impulsion pour qu’ils développent des liens mutuellement fructueux.

Leadership

Par la proposition de projets stimulants et de nouveaux angles d’approche, La DSR permet de faire des avancées dans le domaine de la diffusion au Québec et au Canada.
15
Années d'existence
100
Membres
15
diffuseurs du programme de développement de la danse
0
missions exploratoires internationales

Un peu d'histoire...

Depuis le début des années 1990, le nombre de spectacles de danse présentés dans les régions avait chuté et, à part quelques exceptions, la danse ne circulait presque plus hors de Montréal et de Québec. Lors de la tenue des premiers États généraux de la danse organisés par le Regroupement de la danse (RQD) en 1994, les représentants du milieu de la danse ont débattu de ce problème et cerné les premières pistes de solution. Le RQD a ensuite créé un comité formé de diffuseurs et de compagnies de danse sensibles à la question de la circulation de la danse au Québec afin d’identifier les moyens qui permettraient à la danse d’être à nouveau présente dans les salles du Québec. Riches d’expériences antérieures, les membres du comité ont établi une série d’exigences liées à la mise en place d’une programmation en danse et ont défini les paramètres d’une stratégie de développement de la discipline et du public en région.

En 1997, le RQD donnait naissance au projet pilote Pour que la danse reprenne les routes du Québec qui avait les objectifs suivants:

  • Augmenter le nombre de spectacles de danse présentés chaque année
  • Mettre en place une programmation annuelle prévoyant un seuil croissant de difficultés et présentant les tendances actuelles en danse
  • Augmenter la fréquentation du public aux spectacles de danse
  • Voir à l’augmentation des cachets versés aux compagnies
  • Mettre en place des mesures facilitant la concertation entre les compagnies et les diffuseurs
  • Voir à l’embauche d’une personne à la coordination du projet

Après deux années d’opération…

Les résultats obtenus avaient largement dépassé les attentes et les activités de développement de public ciblées se sont avérées des outils majeurs de développement. Offrir aux spectateurs un contact direct avec les artistes les amenait à poser un regard éclairé sur les spectacles qu’ils allaient découvrir ensuite. Du côté des compagnies, au-delà de l’impact positif d’une plus grande diffusion de leurs spectacles, l’effet stimulant des rencontres avec le public était une véritable révélation et ce rapprochement a eu une influence directe sur leur travail de création.

Bref, après les deux premières années d’opération, les résultats permettaient de dégager deux principes déterminants:

  • Le travail de développement de public est la pierre angulaire du projet
  • La série de trois spectacles permet d’établir une constance dans le développement disciplinaire

Au chapitre de la fréquentation, les revenus de billetterie étaient — et sont encore — insuffisants pour permettre aux diffuseurs d’équilibrer leur budget de diffusion de la danse. Ainsi, en plus de l’aide qu’ils recevaient via le projet pilote, les diffuseurs devaient investir entre 1 500$ et 4 000$ par représentation, soit jusqu’à 12 000$ pour trois spectacles. À cause de cela, quelques diffuseurs ont éprouvé des difficultés à convaincre les membres de leur conseil d’administration de l’importance de continuer à offrir des spectacles de danse à leur population. Certains se sont même désistés alors que d’autres ont accepté de prendre le relais et les risques associés à la présentation de la danse.

L’intérêt de la concertation

Le travail de concertation réalisé durant la mise en place du projet pilote a aussi mis en lumière l’importance de développer davantage cet aspect. On constatait en effet que la synergie entre les partenaires avait permis une évolution positive du discours et une meilleure connaissance de la réalité de la diffusion, de la création et de la production.

Enfin, les échanges ont permis de cerner d’autres besoins pour ancrer encore mieux le projet, ce qui a mené à la réalisation des outils suivants:

  • La rédaction d’un guide de développement de public pour conserver et partager l’expertise acquise
  • La publication d’un magazine d’initiation à la danse pour les jeunes de 12 à 16 ans
  • L’organisation de moments de rencontres entre les diffuseurs, les agents de développement et les compagnies — dont Parcours Danse — qui est aujourd’hui une rencontre annuelle

À la suite de l’incorporation de La DSR, en 2000, le ministère du Patrimoine canadien et le Conseil des arts et des lettres du Québec ont soutenu le fonctionnement de l’organisme.

La DSR est membre des organisations :

La DSR siège sur les comités externes suivants :

Et a mis en place plusieurs comités fédérateurs :

  • Comité de recrutement
  • Comité des ressources humaines
  • Comité Covid 19
  • Comité Parcours Danse
  • Comité danse jeune public au Canada

Conseil d'administration

Désolé!

L’organisation sélectionnée n’est pas
membre de La danse sur les routes.