Leurs unissons accrochent notre œil! Ils apparaissent au détour d’une rue, dans l’allée d’un parc, au coin d’un kiosque de marché. Leurs corps se fondent dans le décor, puis en ressortent soudainement, en s’animant d’un élan qui les transporte à travers les lieux publics qui nous entourent. Ils sont nos rangées d’arbres, nos fontaines, nos chiens errants. Ils sont nos démarches, nos imprévus, nos incidents. Chacun de nous peut devenir leurs précédents qu’ils utiliseront pour tisser des fils entre l’architecture, la danse et la vie quotidienne.