«D’os et d’écorce» renvoie aux forces vitales essentielles, définissant notre humanité et façonnant ce que nous sommes fondamentalement, au-delà des divisions, affiliations, groupes ethniques et identités culturelles. La voix, la respiration et le rythme constituent la toile de fond de la pièce. Les interactions volatiles entre les êtres humains, enfermés dans les limites de leur propre souffle, encerclés par d’autres, essayant de s’échapper, sont animés par le besoin essentiel de se dépasser et de repousser continuellement ce qui existait auparavant, seuls ou comme groupe.